L'adoption généralisée de «toits frais» - généralement en matériaux de couleur claire qui reflètent une grande partie des rayons du soleil - peut augmenter certains types de pollution atmosphérique.

Les agriculteurs épandent habituellement le purin sur la surface de leurs terres agricoles afin de fertiliser les cultures. Toutefois, une étude récente démontre que simplement de l'enfouir dans le sol plutôt que de l'étendre minimiserait la grande menace posée par le ruissellement de l'estrogène dans les plans d'eau avoisinants.

Les 90 plus grandes entreprises productrices de carbone sont responsables de près de la moitié de l'augmentation de la température moyenne mondiale et entre un quart et un tiers de l'élévation du niveau océans entre 1880 et 2010.

Combien d'espace vert avez-vous à saupoudrer parmi les bâtiments et les parcs de stationnement afin de rendre la température de la ville dans son ensemble plus confortable? Et où doit cet espace vert être?

Les mégapoles pourraient presque faire doubler la valeur des services écosystémiques fournis par les arbres urbains, à environ 1 milliard de dollars par mégapole par an, simplement en en plantant plus sur les bords des trottoirs, des places publiques et des aires de stationnement.

Lorsque la terre est transformée pour l’usage de l’humain, les impacts environnementaux sont habituellement mesurés en termes de pollution, populations, et d’espèces. À moins que ces dernières ne soient en voie d’extinction, le sort des animaux individuels n’entre pas dans la discussion. Ils sont pratiquement invisibles. Étant donné l’étendue des terres développées par l’humain et l’attention portée au bien-être des animaux domestiques, il s’agit là d’une incohérence majeure.

Une nouvelle étude explore le rôle controversé de l'agriculture biologique dans la résolution des problèmes liés à l'agriculture - et constate que ses avantages sont grands qu'elle est combinée avec une réduction du gaspillage alimentaire et de la consommation de viande.

En se concentrant sur les bovins individuels, les éleveurs pourraient obtenir un estimé plus précis de l'empreinte carbone de leur élevage. Et cela pourrait même les aider à identifier les bovins les plus "verts" de leur troupeau.

Un des grands espoirs de la conservation moderne est de rendre la nature inexploitée rentable, ou du moins qu’elle prenne une valeur économique. Cela s'est avéré jusqu’à présent difficile à réaliser, du moins à grande échelle - mais un nouveau système conçu par le gouvernement indien, qui permettrait de payer les États pour la préservation de leurs forêts, semble prometteur.